“CAMINOS” : CHICUELO avec KAREN LUGO
Caminos est le nouveau projet du guitariste Juan Gómez 'Chicuelo'. Il comprend des tangos, des alegrías, des bulerías et des granaínas.
Avec un line-up atypique, il ouvre de nouvelles voies sonores dans le flamenco.
Le toucher pur de 'Chicuelo', la batterie délicate de David Gómez et le violoncelle virtuose de Martín Meléndez poussent la danseuse Karen Lugo à son meilleur niveau.
Et la danseuse,à son tour, révèle son style très personnel.
Le répertoire de Caminos est composé d'histoires aux rythmes flamencos, mais sans cante, palmas ou cajón.
Le violoncelle et la batterie transforment les alegrías et les bulerías en une berceuse sincère... et il y a aussi un sublime hommage à Django.
JUAN GÓMEZ 'CHICUELO' | guitare
KAREN LUGO | Danse
MARTIN MELENDEZ | violoncelle
DAVID GÓMEZ | percussion
Juan Gómez 'Chicuelo' est l'un des guitaristes les plus importants de la scène flamenco contemporaine, et en même temps l'un des compositeurs les plus prolifiques et les plus intéressants de sa génération.
Ce musicien catalan tisse subtilement différents mondes musicaux dans un univers musical qui lui est propre et s'est également imposé comme l'un des plus importants innovateurs de la guitare flamenco.
Il a accompagné, entre autres, Enrique Morente, Miguel Poveda, Duquende, Mayte Martín, Rancapino, Chano Lobato, José Mercé, El Cigala, Potito et Carmen Linares et a également collaboré avec les musiciens de jazz Chano Domínguez, Carles Benavent, Jorge Pardo, Jordi Bonell et Raynald Colom et aussi avec la pianiste classique Maria Joâo Pires.
Quant à Karen Lugo, qui vient du Mexique mais vit en Espagne, elle a consacré sa vie au flamenco et s'est fait connaitre, pour sa créativité, son talent artistique et sa technique.
Elle est apparue dans le film "Flamenco, Flamenco“ de Carlos Saura et se produit régulièrement avec les ensembles les plus renommés.
LA PRESSE sur “CAMINOS”:
"Eh oui, il y a quelque chose de technologique dans la danse de Karen Lugo, qui glisse d'une manière à la fois flamenco et pourtant robotique, avec un flux à la fois immensément humain et aussi numérique, car modélisé en 3D.
Il y a quelque chose de futuriste dans la touche cristalline de Chicuelo et la précision et la discrétion de David Gómez, contrepoints idéaux à l'exubérance du violoncelle de Martín Meléndez.
Et si ce n'est pas le futur, c'est au moins quelque chose de très différent de la nostalgie ou du respect du passé.
Chicuelo, cherchant où il n'est pas allé auparavant."
Monge, Alvaro, El Periodico (2021)
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